Les filles de Brigitte Macron partagent de tendres souvenirs avec leur père André-Louis Auzière

Tiphaine et Laurence, les filles de Brigitte Macron, ont posté dimanche des photos d’enfance avec leur père, André-Louis Auzière.

À l’occasion de la Fête des pères, célébrée ce dimanche en France, les clichés d’enfance les plus touchants trouvent une seconde vie sur les réseaux sociaux.

Tiphaine Auzière n’y a pas coupé, tout comme sa soeur Laurence. Plus en retrait, le dernier de la fratrie, Sébastien, ne partage pas sur les réseaux sociaux. Les filles de Brigitte Macron ont publié, en story Instagram, des photos d’elles enfant en compagnie de leur père André-Louis Auzière, ex-mari de la Première dame. La benjamine, Tiphaine, a accompagné sa publication avec ces mots : « Pensée particulière pour mon lion, mon étoile. À jamais et pour toujours ».

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Laurence Auzière a partagé un cliché d’enfance avec son père.

© Instagram de Laurence Auzière.

Tiphaine Auzière a partagé cette photo à l’occasion de la Fête des Pères, dimanche.

© Instagram de Tiphaine Auzière.

Leur père était « un être à part »

L’émotion est d’autant plus palpable que le paternel est décédé le 24 décembre 2019, comme l’avait confié Tiphaine à Paris Match, l’année suivante. « Je l’adorais, c’était un être à part, un anticonformiste qui tenait plus que tout à son anonymat. Il faut le respecter », disait-elle dans nos colonnes. L’avocate confiait aussi garder un souvenir émerveillé de ses années en Alsace, à Truchtersheim, où elle est restée de sa naissance à 7 ans. Son père, banquier, y était en poste dans une agence. Ses parents se sont séparés en 1994 et ont divorcé en 2006.

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En 2024, elle est revenue, toujours pour Paris Match, sur cette séparation et comment elle a vécu la relation entre sa mère et Emmanuel Macron de plus de vingt-quatre ans son cadet. « Une séparation, c’est douloureux, après, avec une particularité, c’est encore plus douloureux, racontait-elle. J’ai beaucoup appris sur la nature humaine. Je sais que, dans ces moments-là, il faut se centrer sur l’essentiel et avancer sans tenir compte des critiques. Les attaques, les médisances, les jugements. Ce n’était pas encore l’ère des réseaux sociaux, mais on était dans une petite ville de province. Tout se sait. Malgré tout ça, ils ont tenu debout. J’en ai tiré une ouverture d’esprit, la volonté ­d’avancer sans écouter les bruits périphériques, une plus grande tolérance. Une séparation familiale peut être un chagrin et une chance. La recomposition peut se révéler un enrichissement. J’ai un père et un beau-père (Emmanuel Macron, Ndlr) adorés. »