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Equipe de France – William Saliba, Dayot Upamecano, Aurélien Tchouaméni… : Les absents (déjà) grands gagnants du rassemblement ?

On dit souvent que les absents ont toujours tort. Cette fois-ci, ceux qui n’ont pas été retenus par Didier Deschamps parce qu’ils étaient indisponibles, ont certainement marqué des points, malgré eux. Le naufrage défensif et les cinq buts encaissés contre la Roja jeudi, ont mis en lumière les absences des titulaires habituels. La charnière Lenglet-Konaté qui n’a pas tenu et le milieu qui a pris l’eau, ont renforcé le statut de ceux qui n’étaient pas sur le terrain. Bien présent sur la pelouse de Stuttgart lui, Rayan Cherki a illuminé la soirée de sa vista et de son talent et se pose comme un prétendant sérieux à un rôle plus important chez les A. Et ce, dès sa première sélection. Passage en revue des principaux enseignements.

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La charnière inédite Ibrahima Konaté (23 sélections) et Clément Lenglet (16 sel.) n’a pas rempli son rôle contre les fulgurances de l’Espagne. Les deux centraux ont pris l’eau et n’ont pas marqué de points dans l’esprit de Didier Deschamps. C’est bien le cas de Clément Lenglet qui n’avait plus été appelé en équipe de France depuis 2021 et le fiasco de l’Euro et qui a quitté le rassemblement, blessé. Ibrahima Konaté, lui, est champion d’Angleterre avec Liverpool et le sélectionneur français voulait relativiser sa performance de jeudi. “Il ne reste pas sur ses meilleures performances (avec les Bleus), il avait fait des choses plus consistantes. Il a besoin d’être dans les meilleures conditions, ce n’était peut-être pas le cas aussi”, a-t-il détaillé en conférence de presse.

Upamecano et Saliba renforcés

Forcément, Dayot Upamecano (30 sel.) et William Saliba (28 sel.) voient la concurrence s’éloigner. Le Bavarois a séduit Didier Deschamps en 2022. C’est simple, l’équipe de France a toujours pris au moins un but sur ses dix derniers matches sans la présence de Dayot Upamecano sur la pelouse. Une série qui remonte à septembre 2023 et la défaite 2-1 face à l’Allemagne, en amical. Depuis, il est devenu indispensable et son absence porte souvent un grand préjudice à la ligne arrière. Son partenaire habituel William Saliba, lui aussi absent pour ce rassemblement, marque des points, de par son pedigree qui est celui d’un des meilleurs défenseurs de Premier League et son expérience qui a porté les Bleus en demi-finale d’un Euro maussade.

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“Pas le souvenir d’avoir vu l’équipe de France mise en pièce à ce point”

Video credit: Eurosport

Le lancement de Pierre Kalulu dans le grand bain en tant que latéral droit, en remplacement de Jules Koundé, n’a pas été une franche réussite non plus. Le Barcelonais, qui a réalisé une saison marathon avec le Barça (53 matches) s’est blessé en demi-finale aller face à l’Inter et a dû se porter pâle pour le rassemblement. Bref, cette Ligue des nations n’a apporté aucune nouvelle concurrence et a plutôt conforté la place des titulaires en défense dans la hiérarchie des Bleus.

Tchouaméni indispensable ?

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Au milieu, la paire Adrien Rabiot-Manu Koné n’a pas non plus donné de grande satisfaction et a bien peu pesé face à la machine à laver espagnole. Ce jeudi, on a ressenti l’absence d’Aurélien Tchouaméni (40 sel.), qui apporte cette sérénité et cette couverture de la défense, pour assumer le déséquilibre voulu par Deschamps. Koné, lui, a montré de belles choses avec le ballon et s’est démarqué comme une option crédible pour la suite des événements. La vraie belle promesse est venue d’un bizuth. A un an de la Coupe du monde, on sait à peu près comment Didier Deschamps veut construire son équipe. Mais un an, c’est court et long à la fois, et rien n’est figé.

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