Son maintien, précise le communiqué, est « assorti de garanties visant à limiter strictement son utilisation au niveau de trafic actuel, à savoir en cas d’intempéries, de travaux ou de circonstances exceptionnelles ». En 2024, selon les bulletins trimestriels « Trajectoires » édités par l’aéroport, 13,5 % des vols ont emprunté la piste secondaire, soit 8 386 mouvements d’avion sur 62 077 au total.
Site | Subscription Price | Supported Countries |
---|---|---|
FuboTV | 5-day free trial, $10–$90/month | USA, Canada, Spain |
ESPN+ | $11.99/month | USA |
Fanatiz | €6.99–€10.99/month | Worldwide |
StreamLocator | 7-day free trial, no credit card required! $9.90/month | Worldwide |
« Suivi annuel »
L’hypothèse de son maintien a mobilisé la population des communes survolées, notamment le 29 mars, lors d’une manifestation devant l’aéroport, ou, pas plus tard que la semaine dernière, vendredi 6 juin, sous les fenêtres de Bordeaux Métropole. La préfecture défend toutefois un « travail approfondi de concertation et d’analyse, engagé depuis deux ans par l’État ». La piste secondaire constitue l’« unique solution », plaide-t-elle, pour répondre notamment au « besoin de continuité de l’exploitation aéroportuaire », en particulier « en cas d’épisodes de vents violents incompatibles avec des atterrissages sur la piste principale ».