Même après être allé dans l’espace, Thomas Pesquet a continué de se former. L’astronaute que l’on retrouve sur France 2 dans Urgence Océan : un sommet pour tout changer ce mardi 10 juin à partir de 20h45, a récemment obtenu un nouveau diplôme.
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Ce mardi 10 juin, Emmanuel Macron répondra aux questions de Léa Salamé et Hugo Clément dans Urgence Océan : un sommet pour tout changer à partir de 20h45 sur France 2, en direct de Nice. «On est au cœur de l’événement, Emmanuel Macron sera présent sur le plateau. Ce sera une partie importante de l’émission où on va l’interroger sur tous les sujets qui ont un lien avec la préservation des océans. On attend aussi des annonces de sa part», s’est réjoui dans les colonnes de La Provence le journaliste engagé. «On aura des personnalités emblématiques comme Thomas Pesquet », a ajouté celui qui partage la vie de l’ancienne Miss France Alexandra Rosenfeld. «Je vois beaucoup de parallèles entre mon aventure dans l’espace et ce que font les navigateurs ou les scientifiques. Une station spatiale, c’est un sous-marin à l’envers! Or aujourd’hui, on voit bien que le meilleur partenaire de l’océan pour la recherche scientifique, c’est l’espace», estime dans les colonnes de Nice-Matin celui qui a 400 jours d’espace à son compteur.
Aujourd’hui âgé de 47 ans, Thomas Pesquet a été découvert du grand public grâce à ses voyages dans l’espace en 2017 et en 2021. «C’est la première chose que j’ai vue. Les cartes ne rendent pas justice à l’océan. Mais quand on regarde une mappemonde ou qu’on a la chance d’aller dans l’espace, cela saute aux yeux qu’on a une planète d’eau. étant des animaux terriens, on connaît très mal ce qui se passe dans les océans», explique celui qui pratique la plongée sous-marine. Mais comment en est-il arrivé là ? Pourquoi lui ? Son CV, disponible sur le site de l’ESA (l’agence spatiale européenne), est impressionnant. Né à Rouen le 27 février 1978, il est sorti vingt années plus tard d’une classe préparatoire aux grandes écoles au Lycée Pierre Corneille de Rouen, avant d’entrer à l’École Nationale Supérieure de l’Aéronautique et de l’Espace de Toulouse (Supaéro), dont il a été diplômé en 2001 (spécialité Conception et contrôle des satellites).
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Des premières années de Thomas Pesquet chez Air France à sa conquête de l’espace
Il a ensuite mis le cap sur le Canada en intégrant l’École polytechnique de Montréal. Il a obtenu sa licence de pilote de ligne après avoir suivi la formation Air France en 2006. Quelques années plus tôt, de 2002 à 2004, il avait déjà travaillé pour le CNES, l’agence spatiale française, où il avait été embauché comme ingénieur de recherche, sur l’autonomie des missions spatiales. Ce n’est qu’à partir de mai 2009 qu’il a été sélectionné pour devenir astronaute. Entré à l’ESA en septembre 2009, il a terminé sa formation initiale en novembre 2010. En 2014, après un entraînement intense sur le véhicule Soyouz, Thomas Pesquet a fait une première mission de longue durée d’environ 6 mois à bord de la Station spatiale internationale. Mais la longue liste des diplômes de l’astronaute ne s’arrête pas là. Début 2025, Thomas Pesquet a été diplômé de l’Institut européen d’administration des affaires (INSEAD), prestigieuse école de commerce et de management implantée à Fontainebleau, comme le rapporte Le Moniteur de Seine-et-Marne.
«Des centaines d’heures de travail, des dizaines de tests et de devoirs à rendre, une ouverture à l’aspect économique du monde, une exposition internationale incroyable avec 65 nationalités comme camarades de classe et une chance inouïe de revivre sa vie d’étudiant et les amitiés qui vont avec», avait confié Thomas Pesquet sur son compte LinkedIn. Celui qui estime qu’il «faut apprendre toute sa vie», car, «c’est l’éducation qui rend le monde meilleur», souhaitait «ajouter une corde à son arc». «Si c’était à refaire et malgré un investissement énorme, je le referais sans hésiter. Je suis très fier d’avoir partagé les bancs de l’amphi et les travaux de groupe avec des camarades du monde entier tous différents, tous talentueux et dans une institution de top niveau mondial. Vous allez me manquer», avait-il encore indiqué sur son compte LinkedIn.
Article écrit en collaboration avec 6Medias